Invité
| Sujet: Abo Iekyo - Go go gadgeto-Validation! ♥ Ven 1 Juin - 20:37 | |
| Abo Iekyo |
AGE : 18 ans. FREQUENCE DE RP : Une ou deux réponses par semaine normalement. Si l'inspiration vient et si les exams partent !
FREQUENCE DE CONNEXION : 7j/7 si tout va bien !
AVATAR : Yu Ha Min.
| NOM : Abo.
PRENOM : Iekyo.
AGE : 18 ans.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Quatre février à Kawagoe.
NATIONALITE : Japonaise.
GROUPE : Sagikkun.
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel....Musexuel !
ANNEE SCOLAIRE : 1ème année.
SECTION : Sport.
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Caractère |
Que signifie réellement « avoir du caractère » ou encore « avoir bon caractère » ? Il existe en ce monde tellement de facettes et de différents points de vues sur la question...La détermination, le courage, la peur, la jalousie, toutes ces choses qui rythment le quotidien des Hommes, mais qui peuvent également le démolir.
Passer d'un sourire sincère aux larmes en quelques secondes est chose assez courante chez Iekyo. Non pas que celui-ci est un pleurnichard, mais bien que sa conscience le travaille nuit et jour. Oui, on pourrait dire que le garçon n'est pas seul dans sa tête. A la moindre sensation de bonheur aussi minime soit elle, il s'infligera alors une sévère remontrance intérieure, se rappelant qu'il ne devrait pas sourire et rire aussi niaisement. Déchiré et remplit de frustration, le garçon n'a jamais réussi à s'intégrer dans la société, ne partageant pas les mêmes centres intérêts que les autres garçons de son âge ni le même sens de l'humour. Cette différence trop flagrante lui valut l'exclusion pure et simple durant toute sa scolarité. « Babo le bouc émissaire de la classe », le garçon qui parle tout seul et qui s'efface constamment quand on lui adresse la parole, gentil mais stupide. Au début simple taquinerie s'ajouta une légère pointe d'exploitation et de moquerie. Ces accumulations finirent par déchirer totalement le garçon qui sombra peu à peu dans la folie.
Pointilleux, exigeant et égoïste, toutes les choses qu'Iekyo entreprend sont calculées à l'avance et sans imperfection. Aucune failles n'est tolérée et quiconque se mettra en travers de son chemin devra être éliminé. Car si Iekyo élabore de tels stratagèmes, c'est bien pour sa propre petite personne, se servir des gens pour atteindre son but est devenu une bien mauvaise habitude chez lui. Ne supportant pas l'échec ou la défaite, le garçon n'en reste pas pour le moins joueur. Les défis, il adore ça et se donne toujours à fond quand quelqu'un ose le provoquer. Mauvais perdant, il ne faudra tout de fois pas trop remuer le couteau dans la plaie si défaite s'en suit, au risque de se faire insulter jusqu'à la fin de votre vie. Derrière ce caractère si mauvais se cache tout de fois un bon côté révélant de la douceur et de la timidité. Car si Iekyo se braque sur lui-même en jurant, c'est bien à cause de sa difficulté à s'ouvrir aux autres. La présence féminine l'intimide au plus haut point alors que celle masculine l'écrase à cause de toute cette virilité. Il faut dire que pour un garçon de 18 ans, Iekyo est loin d'être le plus impressionnant...
Irritable, froid et tranchant, une chose est sûre aujourd'hui il faut le prendre avec des pincettes pour ne pas s'attirer ses foudres. Autrefois on ne l'approchait pas à cause de son côté « bizarre » aujourd'hui c'est à cause de cette aura nonchalante qui l'entoure. Les amis, il n'en a pas. A quoi bon s'entourer de personnes qui finiront par vous poignarder dans le dos ? Futile besoin de l'homme une fois de plus! Iekyo n'a pas besoin de ça pour être satisfait, le sport est la chose qui lui permet de se libérer, d'évacuer toute cette frustration même si cela ne dure que quelques heures. Violent, il a souvent tendance à agresser les gens verbalement comme physiquement et cela sans aucune raison, cela étant dût à sa difficulté de converser plus de deux minutes avec une autre personne que lui-même. Car oui Iekyo n'est pas seul, une personne proche lui parle. Il ignore qui est cette personne pourtant il a l'impression de la connaître depuis toujours, comme un souvenir lointain qui n'arriverait pas à surgir du passé bloqué dernière une barrière invisible. Vous l'aurez compris les concertations avec lui-même sont nombreuses et parfois violente, mais même s'il est atteint de schizophrénie, il n'est pas question de trouble de la personnalité multiple. Même si certaines incohérences avec ses actes pourraient le faire penser, seul lui contrôle ce corps.
Voilà d'ailleurs l'une des principales obsessions du garçon. Au début il pensait être possédé par un démon ou fantôme. Après avoir entendu ses parents parler de son changement, une toute autre vision lui apparue : et si c'était lui l'erreur ? Si c'était lui qui avait pris possession de ce corps ? La peur de disparaître, de ne pas avoir existé, de n'être qu'un imposteur, que cette voix qui lui parle ne le supprime complètement pour reprendre sa place...C'est ce que le garçon craint à chaque fois avant de fermer les yeux : de ne plus jamais pouvoir les rouvrir. |
Histoire |
« Chéri ! Arrête de lui faire faire l'avion à ce pauvre enfant ! Tu vas le rendre malade !! » « Mais non il adore ça, hein Iekyo ? C'est parti vrouumm ! » Iekyo est né le quatre février à Kawagoe et est le fils unique de la famille Abo. Cette place lui valut alors rapidement le titre d'héritier de l'entreprise familiale. Car oui, la famille Abo était l'une de ces familles qui avaient une grosse influence sur le marché de la gastronomie. Gérant de nombreux restaurants réputés, l'argent était loin d'être le cadet de leurs soucis. Avant même que le garçon ne voit le jour, un avenir brillant l'attendait. Élevé avec une cuillère en argent à la bouche, les premières années de sa vie s'écoulèrent doucement, malgré le caractère si explosif du père qui ne pouvait s'empêcher de lancer son fils au-dessus de sa tête en bruitant des choses plus étrange les unes que les autres. Au grand bonheur d'Iekyo qui quant à lui poussait à son tour des rugissements bestiaux comme pour encourager son père à le lancer encore plus haut. Voler dans les airs, se sentir porter par le vent. Aller toujours plus haut était devenu rapidement une obsession pour le garçon à peine âgé de quatre ans. Etait-ce à cause des multiples lancés de son père que cette passion pour l'altitude était née ? Ce n'était pas à négliger en effet. Toujours debout les bras grands ouvert vers le ciel dans l'endroit le plus haut de la ville, il pouvait rester là à observer pendant des heures sans s'ennuyer. Le vertige n'existait tout simplement pas à ses yeux, seule la liberté l'importait et pour Iekyo, la liberté était celle de pouvoir voler dans le ciel. « Il faut lui couper les ailes Iekyo. Sinon un jour il s’enfuira par la fenêtre. Tu comprends ? » « Lui….Couper les ailes…. ? » Pour son dixième anniversaire, ses parents avaient finalement accepté de lui acheter un oiseau. Sans doute en avaient-ils assez de voir leur fils rentrer à la demeure couvert de boue et les genoux ensanglantés après avoir couru après un de ces volatiles pendant plusieurs heures. Mais même s'il était crasseux et blessé, le sourire si fière et rayonnant qui arborait son visage montrait à quel point son état physique le laissait indifférent. Tant qu'il avait réussi à attraper son oiseau tout allait pour le mieux. Mushi, c'était le nom qu'avait donné Iekyo à son oiseau et lorsque son père lui coupa les ailes, ce fut un choc énorme pour le garçon. Comment pouvait-on faire une chose pareille sans avoir de regret. Non juste, pourquoi son père faisait-il cela en y prenant du plaisir ? Regardant le petit être s'agiter dans tous les sens, Iekyo eu un pincement au coeur, à cause de lui on venait de lui arracher sa liberté et sa joie de vivre, la fine branche qui le rattachait à la vie. Qu'y avait-il de pire pour un oiseau que de ne plus pouvoir voler ? Iekyo s'en voulait terriblement. Après cet épisode, sa vision se mit à changer concernant ses parents. Lui aussi avait été élevé dans une cage et il n'était plus qu'une question de temps pour qu'on lui coupe ses ailes. « Babo ! Va nous chercher à manger tu veux ! Et plus vite que ça !! » Sur demande de sa mère, le fils Abo avait été inscrit en école publique et non privée. Pourquoi une telle décision ? Sa mère jugeait important que celui-ci s'adapte d'abord avec des « gens communs » plutôt que de se jeter tête la première dans ce cercle vicieux qu'est la haute société. Malheureusement, le garçon manquait cruellement de répondant et avait fini par devenir le bouc émissaire de sa classe. Bon élève, légèrement niait et souriant, il ne faisait pas le poids face aux petits déments de la classe qui jouaient les caïds. Héritant peu à peu de ce surnom péjoratif qui hante à présent ses nuits : « Babo », le garçon ne savait comment réagir. Peut-être que pour les autres cela était drôle, mais pour lui pas le moins du monde. Voir les gens rire et se moquer de lui ne faisait que le briser un peu plus, n'ayant pas d'amis pour le soutenir ou lui indiquer la voie, il se contentait de sourire faussement au reste de la classe. Au début il ne s'agissait que de simples taquineries, alors que vers la fin de l'année scolaire, les choses avaient pris une tournure bien différente. La petite bande de caïds était à présent crains de l'établissement par les autres élèves et Iekyo était devenu leur victime favorite. Se faisant brutalisé si le garçon refusait de faire ce qu'ils désiraient, plus personne ne s'occupait de Babo au risque de s'attirer les foudres de cette bande. Iekyo ne savait plus combien d'argent de poche il avait perdu par leur faute, bien heureusement Mushi était là pour le soutenir quand il rentrait en pleure chez lui, c'était son seul ami et le seul a qui il pouvait se confier librement sans avoir la crainte d'être jugé. Après une dure journée à supporter la bande de truffes à son école, Iekyo avait décidé de faire une alte au parc, montant sur le rocher central qui s'y trouvait dans le but d'observer silencieusement le ciel. C'est là qu'il fit la rencontre d'Aeko .Une petite fille qui comme lui, avait une multitude de pansements collés un peu partout et ses yeux si pétillant de vie semblait troubler le garçon au plus haut point. Dans un premier temps timide, il se contenta de rentrer la tête dans ses épaules, mais bien vite fini par briser le silence en lui demandant son rêve. A sa grande surprise, elle lui répondit simplement en se perdant dans l'immensité du ciel : « Je veux pouvoir m'envoler ». C'était peut-être à ce moment là qu'Iekyo tomba amoureux, un coup de foudre ? Sans doute. Ils étaient pareils, même leurs prénoms se ressemblaient. Se recroisant le lendemain au parc, le garçon avait retrouvé la force de se battre. Mais tout le monde sait que le bonheur n'est pas fait pour durer et quelques semaines plus tard Aeko lui annonça son départ pour la France. Déchirement. Étant bien élevé, il ne montra pas la moindre objection, il ne pouvait se le permettre et se contenta de la saluer en lui souhaitant bonne chance. Une fois de plus, Iekyo se retrouvait seul, mais cette fois-ci, la solitude était bien plus dure a supporter, comme si un creux n'arrivait plus à être comblé dans son cœur. N'ayant pas le moral pour aller étudier, il se contenta d'aller se poster sur le rocher du parc, peut-être espérait-il voir apparaître Aeko...Les heures défilaient lentement, très lentement. Sortant son déjeuné, il le contempla longuement avant d'entrevoir un pigeon souffrant un peu plus loin. La faim n'étant pas au rendez-vous, il se déplaça donc jusqu'à lui pour lancer un peu de riz sur le sol et à son grand bonheur, l'oiseau venu le manger. Au bout de plusieurs minutes, plusieurs oiseaux entourait le garçon, qui aurait pu croire que nourrir des pigeons aurait pu le soulager d'un poids sur le cœur ? D'un brouhaha de battement d'ailes, l'enfant sursauta pour constater avec quelques sueurs froides que ses amis s'étaient envolés pour laisser place à la bande de son école. Malheureusement, la nourriture encore au sol attira de nouveau le pigeon blessé qui se fit alors violemment shooter par l'un d'eux. Sous le choc, Iekyo resta muet pendant que la petite bande l'agressait verbalement en lui demandant pourquoi il n'était pas venu en cours aujourd'hui. Lui rappelant par la même occasion que leurs repas n'allaient pas se payer tout seul. C'était peut-être la goutte de trop, car peu de temps après Iekyo leur sauta dessus pour se mettre à les taper de toutes ses forces. Malheureusement en infériorité numérique, la situation tourna rapidement et bientôt c'était Iekyo qui était à terre. D'un regard vide, les douleurs dans son corps l'empêchait de bouger le forçant à regarder le pigeon qui avait trouvé la mort par sa faute et gisant un peu plus loin comme un vulgaire déchet. Une fois de nouveau seul dans le parc, de petites larmes se mirent à couler le long de ses joues, sans s'en rendre compte, il commença à maudire sa vie comme son avenir. La mort semblait être une si douce fin à ses yeux. « Qu…Qui es-tu ?!! Tu n’es…pas mon fils !!! Tu n’es pas mon Iekyo ! » D'un sol immaculé de sang et de plumes, le garçon se tenait debout au centre de sa chambre. Le regard vide, mais un sourire sur le visage. Un sourire d'ironie et de folie, comme si la vie avait décidé de s'acharner sur lui, sur ses rêves et sur les personnes qui comme lui partageait le même rêve. Qu'y avait-il de mal à vouloir s'évader du quotidien, de vouloir voir plus haut et plus grand que la majorité des Hommes ? Peut-être avait-il foulé la terre sacrée de Dieu pour recevoir un tel châtiment. Quoi qu'il en soit, Mushi était mort. A quelques mètres devant lui se trouvait sa dépouille. Le responsable de cette boucherie ? Le chat du voisin. Au lieu de prendre fuite comme la plupart des félins le feraient dans cette situation, celui-ci se contentait de tourner dans les jambes d'Iekyo , le pelage légèrement tâché par le sang de son oiseau. Comment était-ce possible ? Comment avait-il pu ? Mushi...Se laissant tomber à genoux pour finalement attraper avec douceur ce chat, il se mit à resserrer peu à peu son emprise. Si Mushi n'avait pas pu vivre, pourquoi lui le pourrait ? Pourquoi ?! Un cri strident fusa alors à travers la pièce et le fit revenir à la "réalité", c'était sa mère qui avait fait irruption dans la pièce en hurlant. D'un puissant claquement, le garçon lâcha le chat et s'étala sur le sol, main sur sa joue à présent douloureuse. C'était bien la première fois que sa mère le frappait et au lieu de pleurer, un petit rire s'échappa de sa gorge, oui quelle ironie vraiment...Il ne pouvait rien faire, il était comme enchaîné. Même venger Mushi était hors de porter pour lui ! A quoi bon se battre dans ces conditions..? « Mais que va-t-on bien pouvoir faire de lui… ? Il nous faut un autre fils. » A la suite de l'incident de la chambre, Iekyo fut privé de sorties pour une durée indéterminée. Seulement pour vous cette expression signifie bien « interdit de sorties loisirs ». Et bien pour Iekyo, c'était de poser le pied hors de la demeure. Comme si les parents avaient peur que leur fils ne nuise à la réputation de leur famille. C'est vrai que penseraient les gens, s'ils apprenaient que le fils unique des Abo étranglait les chats des voisins ? Non non et non, décidément cette rumeur ne pouvait se rependre dans le voisinage. Alors âgé de treize ans, le garçon quitta son école publique du jour au lendemain pour prendre des cours pas correspondance. En fin de compte ce n'était pas si mal, ainsi il ne serait plus persécuté par sa classe..La seule visite qu'il recevait, autre que les membres de sa famille, était celle du psychologue. La comédie dura une année entière avant que les choses ne se complique un peu plus, vivre dans ces circonstances était tout simplement impossible. Mais la surveillance à son égard était si pointue que sa tentative de mettre fin à ses jours fut balayée d'un revers de la main une fois de plus. Le mot désespoir était un bien doux euphémisme pour décrire ce qu'Iekyo ressentait à ce moment précis, il n'était plus considéré comme un fils, mais comme un étranger. - « Alors comment te sens-tu aujourd'hui Iekyo ? » « J'ai fait un rêve. » « Oh vraiment ? Quel genre de rêve ? » « Je fais le même rêve à chaque fois que je ferme les yeux. » « Vraiment ? Et de quoi parle-t-il ? Si tu l'as fait plusieurs fois tu dois bien t'en souvenir non ? » « Je suis persuadé que je ne suis pas fou... » « Bien sûr que tu ne l'es pas. Je t'écoute. » « ça ne se passe jamais au même endroit. Je cours toujours comme si quelque chose me poursuivais et je tiens la main de quelqu'un qui me ressemble aussi. Ou plutôt à qui je ressemble. Puisque dans ce rêve je n'existe pas. Comme si j'étais inexistant. » « Et qu'est-ce que vous essayez de fuir ? » « Tout deviens blanc. Dès que je veux regarder derrière moi. Tout devient blanc et le garçon qui me ressemble disparaît.» - Plus les jours passaient, plus le cas d'Iekyo semblait se détériorer, sa mère l'ayant surpris à plusieurs reprises échanger des discours confus tout seul dans sa chambre. Pourtant, ses parents avaient fini accepter les conseils du psychologue qui était de faire retourner Iekyo à l'école. L'isolement n'arrangerait pas les choses, il fallait qu'il retrouve un contact social. Cette fois-ci, le garçon entra dans une école privée et les premiers mois se passèrent sans le moindre soucis. Il faut dire que quand les parents ont glissé quelques billets en plus à l'établissement pour éviter de faire participer leur enfant en cours aidait sûrement les choses. Ainsi, Iekyo ne faisait que venir en cours pour poser ses fesses sur une chaise et attendre la sonnerie. Mais au moins, il revoyait le ciel. Il avait bien compris que s'il faisait la moindre erreur, le moindre faux pas, il retournerait dans cette chambre pour le restant de ces jours. Et ça c'était hors de question. « Iekyo !! Tu me les fait ces fleurs oui ou non ?!! Je t'assure que si elles ne sont pas sur ma table dans 2heures max, je les fais moi-même et je te les fais manger après ! Suis-je assez clair ? Au travail maintenant ! » La vie au lycée était si paisible qu'Iekyo en avait presque pris goût. C'était reposant de ne pas être constamment surveillé, certes il y avait toujours deux ou trois petits malins qui venaient le titiller de temps à autres, mais un bon regard noir avait pour le moment suffit à les refroidir. Seulement, c'était évident qu'il ne pourrait continuer à être dans cette classe s'il ne donnait pas un minimum de bonne volonté. Surtout concernant le festival scolaire qui approchait à grands pas. La déléguée de classe était très exigeante sur le travail des élèves et faisait bien son travail de coaching ...Non je rigole, en fait elle était chiante au plus au point. Toujours sur le dos de ceux qui traînassaient, elle semblait être infatigable et manque de chance pour Iekyo, elle semblait également s'acharner sur son cas. Pour une raison mystérieuse, on l'avait collé à faire des fleurs roses en polystyrène, le thème de la classe étant Alice au pays des merveilles ; thème qui ne faisait qu'énerver de plus belle le garçon. Quoi qu'il en soit, les cours avaient été banalisés pour la préparation du festival et le lycée ressemblait plus à une foire qu'autre chose. Jouer les petits écoliers en faisant du découpage ne l'ennuyait pas trop, ce qui était plus difficile à supporter était Aeko la démoniaque, alias la déléguée de classe. Malgré son sale caractère, aujourd'hui il aimerait remercier cette fille pour de nombreuses choses. Comme le fait d'avoir permis à Iekyo d'être traité comme les autres élèves et donc de trouver la même satisfaction en voyant leur projet de groupe achevé. Ou encore d'avoir trouvé une amie qui le comprend. Elle a été la première à lui parler, à le frapper comme à l'embrasser. Malheureusement, il ne peut lui faire part de ces sentiments, étant donné qu'elle n'est plus de ce monde, par sa faute. « Nous t'avons trouvé un lycée mon cœur ! Et je suis sûre que tu vas t'y plaire ! » D'un air faux, sa mère venait l'aborder en gardant tout de fois une certaine distance de sécurité. C'était pathétique de sa part, mais avec le temps, Iekyo avait fini par s'y habituer. Vu les notes qu'Iekyo avait décroché au Sentā, autant vous dire qu'il était surpris de voir qu'un Lycée voulait bien de lui...En Corée. Dans un premier temps surpris, puis amusé, il fit ses bagages immédiatement. Ainsi ses parents ; et surtout sa mère ; n'auront plus besoin de le supporter, lui et ses sautes d'humeurs permanentes et puis plus rien ne le retenait ici...En fin de compte, ils avaient réussi à nettoyer l'honneur de la famille, il ne restait plus qu'à faire un autre fils et l'histoire était réglée pour de bon ! Pour une raison mystérieuse, à son arrivée sur les lieux, il fut immédiatement convoqué par le directeur en personne. Pourquoi un tel honneur ? Il l'ignorait et en ressortant du bureau, il en était persuadé : C'était un asile. Ces histoires de fantômes ne rimaient à rien. Les gens morts ne revenaient pas à la vie et cela sous n'importe quelle forme. Ils avaient quitté ce monde pour toujours. Certes Iekyo était légèrement troublé, mais il n'en était pas pour le moins sénile ! |
En profondeur |
A son arrivée à l'établissement, les choses étaient plus claires, ces parents avaient enfin réussit à se débarrasser de lui. Ce que représente Yulyeong à ses yeux ? Un hôpital psychiatrique tout simplement. Tous sont atteints de la même folie, ils entendent des voix et parlent à des courants d'air. Certes, Iekyo ne se sent plus autant mis à l'écart, car après tout lui aussi parle à Ieko, pourtant il ne semble pas de s'agir de la même chose. Des fantômes ? Quelle connerie ! Le directeur n'est autre qu'un vieux fou qui a passé l'âge d'administrer un établissement, autant vous dire qu'Iekyo ne le porte pas dans son coeur, surtout après que celui-ci lui ai posé un tatouage étrange à la cheville droite. C'était une espèce matricule ? Depuis ce jour, Iekyo semble devenir de plus en plus fou, entendant plusieurs voix en plus d'Ieko. Venir ici n'allait décidément pas arranger son cas... |
Dernière édition par Abo Iekyo le Sam 16 Juin - 17:04, édité 37 fois |
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Ahn Jung Hyuk
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Autres : 1ère année
| Sujet: Re: Abo Iekyo - Go go gadgeto-Validation! ♥ Sam 16 Juin - 22:01 | |
| Je te valide, chouuuuuuuuu ~
(J'ai mis trois heures à lire ta fiche, mais c'est bon èé ! /MUUUUUUUUR/ J'suis trop lente pour lire, surtout quand je suis fatiguée T________T VALIDATION |
Oh, cher membre de Yulyeong, par les pouvoirs qui me sont conférés, je te valide ! Tu peux dès à présent te chercher un camarade de rp, faire ta fiche de liens, ta chambre secrète ! Mais surtout, amuse-toi parmi nous, c'est le but ! Mais avant de partir, je vais te donner un lien magique où tu pourras faire toutes tes demandes diverses, si si, je suis trop gentil ! C'est ici ! |
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