MOON JIN PYO

NOM : MOON

PRENOM(s) : Jin Pyo

AGE : 18 ans

DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 06 Septembre 1993 à Séoul

NATIONALITE : Coréenne

GROUPE : Sagikkuns

ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel

BRANCHE ENSEIGNEE : /

ANNEE SCOLAIRE : 1ere année

SECTION : Arts

TALENT : /

ANNEE FANTÔME : /

Enfantin - bavard - naïf - manipulable - câlin - capricieux - susceptible - maladroit - peureux - souriant - agréable - accueillant - sociable - extraverti - excessif...

Pyo est... comment dire... Très enfantin. Il est censé avoir dix-huit ans, mais dans sa tête c'est à peine s'il a la moitié de son âge. Pyo adore tout ce qui est rose, blanc, tout doux, tout mignon et il est un collectionneur de peluche. Il en a... une immense collection ! De plus, il n'est pas rare d'en trouver une dans son sac ou tout simplement de le voir se promener dans les couloirs avec l'une d'entre elles dans ses bras. Vous voulez lui demander pourquoi il se trimballe avec ça ? Il comprendra immédiatement que vous voulez être son "copain" ou sa "copine" et il commencera à vous raconter sa vie.

Il est comme ça Pyo, il parle tout le temps et la plupart du temps c'est... pour ne rien dire. Il discute de tout et de rien, de la pluie et du beau temps, de la dernière série à la télévision qu'il a regardée ou encore de ses peluches, des choses qu'il aime ou qu'il n'aime pas... Bref, tout y passe.

Ensuite, un trait de caractère qui le définit bien c'est sa naïveté. Pyo croit absolument tout ce qu'on lui dit et il y croit dur comme fer ! Tenez, par exemple, lorsque l'un de ses amis lui a dit avoir vu un pancake carré jouer au frisbee dans son jardin, le garçon s'y est immédiatement rué, clamant qu'il voulait voir ça ! Parfois ça amuse les gens, les désespère ou alors certains se servent de lui... Il est très manipulable ce qui n'est pas forcément une bonne chose. Pour lui tout le monde est beau, tout le monde est rose et gentil ! Continuons.

Pyo adore faire des câlins. Quand il n'en fait pas à ses peluches, ce sont les personnes tout autour de lui qui y passent ! Et puis, comme il le dit si bien, "un câlin ça se refuse pas !".

Le petit blondinet est aussi relativement capricieux et la plupart du temps, pour obtenir ce qu'il souhaite, il esquisse de petites moues adorables. Il a aussi vite tendance à bouder, se renfrogner, quand quelque chose ne lui plaît pas. Il dit souvent "t'es un méchant", "t'es un pas gentil", "moi je veux pas qu'on soit copain si t'es un méchant pas gentil !",... si la personne en face de lui lui parle de choses qu'il n'a pas envie d'entendre. Il aime plutôt beaucoup, même s'il ne l'avoue pas, se faire traiter en petit prince.

On dit aussi de lui qu'il est très susceptible, il se vexe facilement. Il n'aime pas qu'on le prenne pour une fille par exemple et dans ces instants-là, il ne vaut mieux pas le toucher parce qu'il vous repoussera.

Viens ensuite sa maladresse. Il n'est pas rare du tout de l'entendre casser des objets ou de dire des mots un peu vexant. Cependant, il s'en rend rapidement compte et il s'excuse des milliers de fois (et il offre généralement un câlin pour réconforter).

Ce qui caractérise aussi Pyo, c'est sa frousse. Il est très peureux alors imaginez comment il réagirait s'il voyait des fantômes...

Outre tout cela, Pyo est bien évidemment très souriant, agréable, accueillant, sociable et extraverti. Il se sent parfaitement à l'aise dans son corps, dans sa tête ; tout va pour le mieux ! Ah, pour terminer, évitez de lui toucher le visage ou les cheveux, sinon vous risquez de le voir rouge comme une tomate !

« Pourquoi tu veux pas que maman elle m'achète un chien tout mignon papa ?, demanda le garçon, grand-frère il a dit qu'il en voulait un comme ça lui aussi !
- C'est hors de question, il va mettre des poils partout et les chiens de cette race, c'est très sale, répondit son père catégorique, c'est non Pyo, et n'insiste plus ! »

Vexé, le petit garçon monta à l'étage et se rua dans la chambre de son frère, de quatre ans son aîné. Il se jeta sur lui en clamant que leur papa était un méchant pas gentil. Son grand-frère le serra dans ses bras et lui frictionna gentiment les cheveux en souriant tendrement. Contrairement à lui, il était un enfant très sage, presque réservé, voire timide. Mais il était très doux avec Pyo et il le consolait toujours quand les caprices de petit prince n'étaient pas satisfaits.

La famille vivait aisément, les enfants étaient très heureux et relativement comblés, choyés et dorlotés. Pyo adorait cela et il ne manquait pas une occasion de l'être davantage. Il n'aimait pas particulièrement quand on lui refusait quelque chose... mais ça passait généralement très vite.

« Pyo, commença doucement son grand-frère en l'asseyant sur ses genoux, si tu veux, quand tu vivras tout seul plus tard, je te l'offrirai ce petit chien, tu es d'accord ? »

Ses yeux pétillèrent de joie et il s'empressa de câliner son grand-frère.

« Tu es le meilleur des grand-frères ! », le remercia-t-il.


« Regarde, là-haut Pyo, tu vois ces deux étoiles ? »

Son grand-frère leva le doigt pour lui montrer où elles étaient. Pyo hocha le visage, curieux de savoir ce qu'allait lui dire ensuite son grand-frère.

« On a qu'à dire que toi et moi, on est ces deux étoiles. Si un jour tu te sens triste et que je suis pas à côté de toi pour te réconforter, regarde ces étoiles et imagine que je te serre fort dans mes bras !
- Elles sont belles, grand-frère ! », murmura le plus jeune en esquissant un sourire.


« Dis-moi Pyo, quel âge as-tu ?
- Bientôt quinze ans, monsieur !
- Ta maman m'a dit que tu ne voulais pas grandir. Est-ce que tu peux m'expliquer ? »

Récemment teint en blond, le jeune homme pencha sa tête toute blanche sur le côté, les yeux à la fois interrogateurs et perdus dans l'incompréhension la plus totale de ce que lui disait la personne en face de lui. Un psychologue. Et si Pyo ne savait pas expliquer lui-même les raisons qui avaient poussé ses parents à prendre l'initiative de l'y envoyer, elles étaient pourtant évidentes : depuis que son grand-frère les avait quitté, sa mère ne voyait pas son fils grandir. C'était comme si, dans la tête de Pyo, il avait gardé son âme de petit garçon.

« Pyo, reprit le médecin, tu veux faire quoi plus tard ?
- Je veux que grand-frère soit fier de moi ! »

La tâche s'avérait plus difficile que ça n'y paraissait... Le faire évoluer, lui faire quitter le stade de l'enfance ? C'était se heurtait de plein fouet à un mur. Il n'en avait pas envie, il était heureux ainsi.


« Pyo ! Arrête de bouger dans tous les sens, tu me donnes mal à la tête !
- Moow, mais, maman...
- Non, il n'y a pas de mais qui tienne, reste tranquille ! »

La mine renfrognée et les bras croisés sur sa poitrine, le jeune Pyo s'assit sur la chaise à côté de sa mère. Il n'aimait pas se faire gronder, alors il boudait, comme un enfant de quatre ans. En soupirant doucement, il se tourna finalement vers sa mère, un grand sourire sur les lèvres et les yeux pétillants. Il lui attrapa un peu le bras et s'exclama, joyeusement :

« Tu crois que grand-frère il va être heureux et fier de moi si j'ai gagné le concours ?
- Pyo... murmura sa mère en baissant le visage, un air profondément désolé peint sur ses traits, Pyo... ton grand-frère est parti. »

Elle ne voulait pas parler de son fils décédé, pour elle c'était bien trop douloureux et voir son plus jeune enfant faire encore comme s'il était toujours parmi eux, ça la faisait atrocement souffrir. Elle ne voulait évidemment pas faire de la peine à Pyo, mais elle ne comprenait pas pourquoi il s'entêtait autant à parler de son grand-frère.

Le petit blondinet perdit son sourire à la réponse de sa mère et il baissa à son tour la tête, fixant le sol sous ses pieds. Il passa une main sur ses yeux pour les frotter, des larmes naissant doucement en coin, mais il n'allait pas pleurer. Il se sentait coupable du décès de son grand-frère car il avait traversé le passage piéton à peine deux minutes avant lui. S'il s'était retourné, s'il l'avait attrapé par la main comme il adorait le faire pour l'entraîner à sa suite en lui racontant toutes ses aventures de la journée, il ne lui aurait rien été arrivé.

Pyo arrangea un peu sa frange et renifla tristement. Ni lui, ni sa mère, ne parlait. Il régnait un silence assez pesant dans la pièce. L'attente de savoir si le garçon avait remporté le concours du meilleur dessin de la région était devenue un supplice... Une porte s'ouvrit finalement et un homme au visage froid vint les rejoindre. Pyo était arrivé second...


« Est-ce que tu crois aux fantômes Pyo ?
- Oh oui ! Moi les fantômes, ça me fait un peu peur... rougit-il.
- Je sais que tu as perdu ton grand-frère...
- C'est un fantôme ?! coupa-t-il son interlocuteur, ses yeux ouverts en grand.
- C'est possible. », soupira l'homme.

Et ce fut ainsi, et à la suite du tatouage qu'il reçut en suivant, que le jeune blondinet se retrouva dans l'établissement Yulyeong pour sa première année dans la section des arts.

Pyo croit dur comme fer en l'existence des fantômes, mais il en a une peur incroyable. Il trouve ça un peu bizarre d'être capable de leur parler, de les toucher ou encore plus, de les voir. Lui ne les voit (heureusement ?) pas, mais il les ressent de temps en temps. La raison pour laquelle il est un sagikkun c'est parce qu'il aimerait savoir si son grand-frère est bien toujours là... en quelque sorte, car il se sent coupable de son décès et il voudrait s'excuser auprès de lui.

A son arrivée ici, il a bien évidemment reçu son tatouage. Il l'a au niveau de l'aine, à droite, et ça représente deux petites étoiles qui ont une signification un peu particulière à ses yeux. [voir]

Sinon, c'est sa première année dans cet établissement, mais il la prend avec le sourire et il se sent plutôt bien. Il s'adapte vite et il n'a qu'une seule hâte... se faire tout plein d'amis et faire des câlins à tout le monde !

VALIDATION

Bon retour à toi ♥ Tout es ok ! Allez retourne jouer avec nous ! =D Ravi de te revoir ! ♥

Oh, cher membre de Yulyeong, par les pouvoirs qui me sont conférés, je te valide ! Tu peux dès à présent te chercher un camarade de rp, faire ta fiche de liens, ta chambre secrète ! Mais surtout, amuse-toi parmi nous, c'est le but !

Mais avant de partir, je vais te donner un lien magique où tu pourras faire toutes tes demandes diverses, si si, je suis trop gentil ! C'est ici !